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Extraits de

La Trilogie de l'Amour

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L 'Amour

 

    La vie de la Terre est faite pour que nous nous transformions, pour que nous luttions contre nous-mêmes, pour montrer aux autres que nous pouvons et devons changer ; c'est pour cela que les bonheurs ne durent pas éternellement (éternellement de la Terre). Mais, par contre, comme les humains aiment entretenir les malheurs ! Comme ils aiment se flageller ! Comme ils ne savent pas mettre l'amour pur en avant pour que les malheurs passent rapidement ! Ils devraient ne tirer du malheur que le positif au lieu de rester toujours dans le côté négatif, ce qui fait qu'un malheur attire un autre malheur parce qu'un être négatif n'attire automatiquement que du négatif. Alors cet être s'entoure de pensées sombres, non altruistes, pour ne pas dire parfois de pensées de haine et de vengeance. A ce moment-là, le circuit ne peut plus s'arrê­ter, il se referme, il n'y a plus d'ouverture, et les malheurs continuent à se succéder, parce que l'être s'est enfermé dans ce cycle de malheurs. Il ne veut pas en sortir, il s'y complaît, mais malheureusement il y entraîne souvent les autres, parce qu'il est fort dans son malheur et il refuse le bonheur. Personne ne peut rien pour cet être qui — refusant de devenir positif — n'accepte aucune aide et veut rester seul avec sa souffrance, en se martyrisant et en se croyant l'être le plus malheureux de la terre. Si cet être est malheureux, c'est parce qu'il le désire en lui-même mais il dira tout le contraire, alors qu'au fond de lui, il est heureux — heureux de souffrir, heureux d'affliger les autres — c'est pour lui une jouissance et il ne veut absolument pas sortir de son mal­heur. Il jette son malheur à la figure des autres, il jette son malheur en pâture à ceux qui se délectent des malheurs, et lui, il en éprouve une jouissance profonde qui l'entraîne toujours plus bas dans le sombre, dans le noir.

A ce moment-là, cet être ne voit plus le soleil, il ne voit plus la lumière qui, à côté de lui, rayonne ; il ne veut plus voir que le sombre, le noir des sentiments laids. Il refuse tout sentiment altruiste, tout sentiment noble de beauté ; la beauté l'agresse, les sentiments nobles le hérissent ; il rejette l'être lumineux qui vient vers lui en ten­dant la main, il la refuse, la repousse, car il ne veut pas sortir de sa noirceur, il croirait déchoir ! Alors qu'au contraire, il s'élèverait au-dessus de cette condition de malheur pour aller, progressivement, vers un autre stade où les choses deviendraient moins noires, moins tristes ; où progressivement la lumière en lui descendrait. La lumière serait d'abord une petite, petite flamme faible, falote, mais progressivement cette lumière prendrait de la force pour devenir, un jour, une belle lumière qui éclairerait et inonderait cet être en se répercutant autour de lui, parce que la lumière attire la lumière, la lumière repousse les ténèbres ; et, ainsi, cet être serait transformé, il irait vers la réussite, vers la joie, vers le bonheur, parce qu'il aurait vaincu ses idées tristes et sombres, ses idées souvent morbides. Il irait le coeur confiant en l'avenir vers la lumière pure et belle de l'amour, l'amour qu'il avait piétiné, rejeté ; et brusquement l'amour l'inonderait, il tomberait en action de grâce devant l'amour qui lui ouvrirait les bras, alors que jusque-là, il repoussait l'amour de toutes ses forces, la lumière l'éblouis­sant et lui, voulant rester dans les ténèbres.

Celui qui sait faire cet effort, celui-là, dans l'autre monde, trouvera sa récompense. Ici nous rencontrons des êtres qui ont énormément souf­fert sur la Terre, qui ont refusé beaucoup de choses mais qui, arrivés dans notre monde et parce que leur âme leur permettait d'arriver à ce niveau de conscience (ce que les terrestres ne peuvent pas comprendre), ces êtres-là, comprenant leurs erreurs de la Terre, travaillent trois, quatre, cinq fois plus qu'ils se croyaient capables de le faire ; et là, ils laissent tomber une à une toutes les coques dans lesquelles ils s'étaient enfermés pour se protéger de la lumière et rester mieux cloîtrés dans les ténèbres. Toutes ces coques tombent et des êtres lumineux appa­raissent (les êtres qu'ils étaient, mais qu'ils n'avaient pas voulu être sur la Terre).

Vous voyez de ces êtres lumineux, merveilleux, et qui ne deman­dent qu'à revenir sur la Terre, avec au coeur l'amour, pour y apporter la lumière et être lumière eux-mêmes pour les autres et essayer de convaincre ceux qui, comme eux, autrefois, restent dans les ténèbres, de devenir des êtres lumineux.

 

 

Les Ténèbres

    Ceux qui descendent dans les ténèbres ne supportent pas cette petite lumière, même si elle est faible, ils n'ont qu'une envie : l'éteindre, ne plus la voir, ne plus avoir cette lumière qui leur fait des reproches, cette petite et faible lumière qui leur dit : « Pourquoi descends-tu ? Pourquoi es-tu si mauvais ? Pourquoi fais-tu tant de mal ? Pourquoi refuses-tu de t'intégrer dans une société, puisque tu as accepté de revenir dans cette société ? Tu en connaissais tous les dangers, tu connaissais tous les obstacles que tu aurais à vaincre, et tu as dit : Je veux réussir. »

« Alors pourquoi maintenant ne le veux-tu plus, puisque tu fais tout le contraire ? Tu te laisses descendre, tu te laisses aller vers la facilité, tu te laisses dégrader et descendre plus bas que ne sont les animaux — je ne parle pas des animaux supérieurs qui eux ont de beaux sentiments ! — mais je parle de l'animal brut : tu lui es devenu semblable. » « Pourquoi, ô toi qui possèdes cette étincelle divine immortelle, la caches-tu ? Pourquoi cette lumière te dérange-t-elle ? Pourquoi ne veux-tu plus regarder en face ton Père Cosmique ? Pourquoi Le renies-tu ? Pourquoi descends-tu au ban des renégats ? Pourquoi te transformes-tu en violeur de conscience ? et parfois en abject violeur de ce qui est sacré sur la terre : les tombeaux ? Pourquoi descends-tu dans cette vilenie ? Pourquoi fais-tu tout ce qui est à l'inverse de ce que tu avais promis de réaliser ? »

« Tu avais promis de t'amender de tes fautes passées en aidant les autres. Tu avais promis de faire un chemin dur pour justement t'aguer­rir et affermir tes faibles qualités, parce que tu devais vaincre tes défauts. Tu avais promis d'être bon envers tout le monde. Tu avais promis d'honorer ton Père Cosmique qui te donnait cette chance de te ressaisir de tes erreurs passées. Tu avais promis d'honorer ton père et ta mère sur la terre, d'aimer tes frères et tes soeurs, d'honorer ta famille. Tu avais promis d'être un être probe, consciencieux dans ton travail, et de fonder un foyer avec la compagne que tu avais rejetée autrefois, parce que déjà tu t'étais mal conduit et qu'ensemble vous deviez réparer tous les torts passés, et faire cette fois-ci une vie har­monieuse dans la difficulté, certes, puisque c'est le lot de tout être revenant sur la terre. Pourquoi as-tu rejeté celle qui était venue vers toi ? Pourquoi te comportes-tu de cette façon envers les autres ? Tu avais promis de faire un travail qui te conviendrait, parce qu'Ici tu l'avais préparé, tu l'avais aimé. Tu avais promis d'aider les autres en leur montrant le chemin qui conduit un être vers la libération de ses mauvaises aspirations passées. Tu avais promis de suivre un chemin droit qui devait progressivement s'élargir et finir par un chemin de lumière. »

« Voilà tout ce que tu avais promis, alors que tu as tout renié en bloc pour devenir une épave de l'humanité ; un renégat dans la société mais aussi un renégat pour ceux qui, de notre monde, t'avaient servi de témoins pour la nouvelle vie que tu devais faire. Mais le Père Cosmique a une clémence infinie, et si tu voulais bien te repentir et gravir l'escalier difficile qui te permettrait de te réhabiliter aux yeux des terrestres — mais aussi te réhabiliter aux yeux de ton Père Cosmique, aux yeux de ceux qui t'ont servi de témoins, lorsque tu as signé ton contrat avant de revenir sur la terre — tu pourrais alors au tout petit lumignon, près de s'éteindre, redonner vie à cette flamme, pour que tout doucement elle se remette un peu à donner de la lumière. Et, à force d'efforts sur toi-même, que cette lumière reprenne réellement vie et te permette de vivre une vie honorable et de réparer tous tes torts. »

« Voilà ce que tu fais et voilà ce que tu avais promis de faire. Alors, ô toi, qui te perds dans les dédales ténébreux, repends-toi, ressaisis-toi et, en ton coeur, prends la ferme résolution de ne plus suivre ce chemin tortueux, glissant, ce chemin qui te fait descendre ; va vers la lumière à tâtons, parce qu'aveugle tu es, mais, doucement, cette douce lumière te permettra d'ouvrir les yeux et tu seras ébloui par la beauté d'un ciel bleu, par la nature, tu seras ébloui par la miséricorde de ton Dieu ! »

 

 

Lettre à un renégat (extrait)

« Vois-tu, ô ami de la Terre, toi qui t'es perdu dans des chemins qui t'éloignaient de ta nature réelle, de ta nature divine, eh bien, ô ami, pourquoi rejettes-tu tout en bloc et ne vois-tu pas dans le regard de ceux que tu croises, qu'il existe aussi en eux une étincelle comme elle existe en toi ?

 

Et si tu pensais que tu es frère avec les autres, tu quitte­rais le chemin que tu as pris ; tu abandonnerais cette hargne et même cette haine que tu as mise en ton coeur, mais qui n'y était pas. Tu t'es laissé entraîné par des fréquentations mauvaises mais, au fond de toi, tu n'étais pas mauvais ; ce sont les autres qui t'ont entraîné sur ce chemin, qui en sont responsables, mais toi, ô ami, tu peux revenir dans le droit chemin ; il n'est jamais trop tard.

 

Mais écoute ton coeur, écoute ton âme, ton âme que tu martyrises, ton âme que tu cloues au pilori, au pilori de la souffrance, au pilori de la douleur, car ton âme n'est pas noire ; c'est toi qui a voulu devenir noir, mais ton âme reste encore brillante. Alors permets à sa brillance de t'apporter un récon­fort et te dire : "O toi, en qui je suis prisonnière, ne me laisse pas dans le noir, ne me laisse pas dans ton obscurité ; je suis ta prison­nière et pourquoi, toi, veux-tu aussi aller en prison ? Nous serions à ce moment-là deux prisonniers ? Pourquoi faire ? Libère-toi avant d'aller dans une prison de la Terre, afin de me permettre de me libérer de la prison où tu me tiens enfermée." »

 

« J'ai tant besoin de beauté et d'amour, donc en toi, tu as besoin de beauté et d'amour puisque nous sommes un — toi et moi — nous sommes nés au même moment depuis combien de millénaires ? Nous sommes nés à la même seconde — toi et moi — je t'ai suivi au cours de tes pérégrinations sur Terre et, parfois, tu m'as maltraitée comme tu me traites en ce moment — ô ami ! ô mon bourreau ! — car, en réalité, tu es mon bourreau, puisque tu me tiens prisonnière dans le noir enfer­mée, alors que j'aspire à la lumière, j'aspire à la beauté. Alors, ô mon bourreau, comprends que bourreau tu l'es avec toi-même, tu l'es à chaque instant avec toi-même, puisque tu es bourreau avec moi et que nous ne sommes qu'un. »

 

« Alors, ô bourreau que je dois subir, comprends ce que tu fais subir aux autres et comprends que cela n'est pas la vie. La vie est faite pour aimer, aimer avec désintéressement ; la vie est faite pour chercher la lumière et non la noirceur comme tu le fais ; la vie est faite pour admi­rer le soleil, admirer la nature ; la vie est faite pour accomplir son travail honnêtement et si possible avec amour ; la vie est faite pour vivre à deux pour, ensuite, être à plusieurs, parce que seront nées de l'amour les petites têtes blondes ou brunes qui apporteront de la joie au foyer, que tu ne connaîtras jamais si tu restes dans la noirceur. »

 

« Vois-tu, ô mon bourreau, ce que tu perds en prenant le chemin que tu as pris ; vois-tu, ô mon bourreau, où tu me conduis en te conduisant toi-même, parce qu'un jour, je te redemanderai des comptes et, à ce moment-là, c'est moi qui pourrais t'accuser et te dire : "Pourquoi as-tu fait cela ? Pourquoi m'as-tu conduite dans ce chemin ?" Et toi, tu ne pourras plus répondre, tu ne seras plus le bour­reau, je serai ton juge. »

 

« Tu m'enfermes et me fais taire maintenant, mais le jour viendra où je sortirai victorieuse de ce corps de chair, je te conduirai dans ta patrie Céleste et là, devant l'éternité, je te dirai tout ce que tu as fait subir à la Terre, à tous ceux que tu auras martyrisés, par des paroles, par des actes. Je te montrerai tous tes actes horribles, plus ou moins, dans l'horreur ; je te ferai entendre les cris de tes victimes — que tu les aies tuées ou volées — je te mettrai devant les yeux les larmes que tu as fait verser à ceux que tu attaquais, à ceux que tu détestais ; je te montrerai, ô bourreau de la Terre, toutes les horreurs que ceux qui étaient avec toi auront commises et donc toi aussi ; et à ce moment-là, ô mon bourreau de la Terre, tu pourras tordre tes bras, tu pourras gémir, je serai impla­cable dans mon verdict, parce que toi, sur la Terre, tu auras été impla­cable avec moi. Tu enfermais la beauté de mon être qu'est le tien, tu la rejetais dans la profondeur de ton être, et tu voulais éteindre la petite lueur que j'essayais encore de te faire voir ; je voulais te conduire sur le chemin de lumière et tu m'as obligée à descendre dans la fange. »

 

« Tout cela, ô mon bourreau de la Terre, je te le montrerai, tu reverras tes actes, tu reverras ton cheminement de la Terre, et tu seras bien obligé de tomber à genoux et demander pardon d'avoir fait tant de mal sur la Terre ; mais surtout de t'être fait tant de mal à toi-même, puisque je suis ton âme et que ton âme c'est toi. »

 

 

 

L'Eternité

Bonjour chers lecteurs, chères lectrices. Voici un nouveau correspondant qui, je l'espère, saura vous intéresser autant que son prédécesseur. Oh ! certes, je n'ai pas l'intention de rivaliser avec un technicien des mots, mais je ferai tout ce qui sera en mon pouvoir d'ancien homme de religion, différente de la vôtre, puisque sur Terre je fus un Rabbin. Un homme qui a tant aimé chercher la vérité et qui croyait l'avoir trouvée sur la Terre ! Quelle erreur fut la mienne ! La vérité existe uniquement dans le monde de Lumière où un jour je fus propulsé, après une grave maladie qui me permit de venir dans un monde que j'ignorais ou, tout au moins, sous sa forme réelle ; voyez-vous, sur Terre, on enseigne tant et tant d'erreurs auxquelles moi aussi j'ai cru. Mais je ne suis pas là pour vous parler de mon arrivée Ici, dans le monde céleste, où j'ai dû tout apprendre, d'ailleurs comme tous les religieux Terrestres.

 

J'ai beaucoup cherché, beaucoup appris, et je désire vous faire partager un peu de ma connaissance acquise au prix d'énormes efforts, tout s'acquérant dans l'effort ; sans efforts, que serions-nous ? Rien ! même les plus petits des animaux doivent faire des efforts pour apprendre à vivre ; alors à plus forte raison, nous qui sommes des êtres pensants, donc responsables, devons, en permanence, lutter avec nous-mêmes contre nos penchants néfastes pour, un jour, les avoir tous « liquidés » en les ayant transformés en bons sentiments. Voyez, ô chers lecteurs, que la vie de la Terre et celle du Ciel évolué se ressemblent : toujours travailler sur soi-même afin de se purifier et, un jour, ne plus revenir vivre sur la Terre mais rester, définitivement,

dans sa céleste et merveilleuse patrie, celle de notre naissance première à la vie.

 

Voilà ce que mes Maîtres m'ont dit, et j'avoue être tombé à genoux devant ces très grands Sages, si pleins de connaissances et d'Amour. Je continue à vous expliquer ma philosophie céleste.

 

L'Amour est le moteur principal qui doit faire évoluer, avancer « les humanités » des planètes habitées. D'autres ont su intégrer cet Amour dans leur système de société ; que nous en sommes loin, même très loin ! En ce moment, c'est tout le contraire qui sur Terre règne. C'est l'anti-loi de l'Amour qui est le maître de la Terre, donc à l'oppo­sé de l'Amour.

Quand les Terrestres arriveront-ils à comprendre cela ? L'humanité devra se transformer radicalement. Les dirigeants devront se soumettre à la Loi d'Amour et non à l'anti-loi de l'Amour, comme c'est le cas actuellement.

 

Oh que les dirigeants sont tous coupables, puisqu'ils ne font rien dans ce sens ! d'ailleurs, savent-ils qu'il existe une Loi d'Amour ? Et pourtant, ils devraient être les premiers à chercher, à apprendre nos Lois Célestes, elles les conduiraient, oh ! certes par beaucoup d'efforts sur eux-mêmes, sur un chemin qui les ferait sortir de l'ornière où ils sont embourbés, et pour combien de temps encore ? Comment pourraient-ils bien diriger leur pays alors qu'ils ne savent pas se diriger eux-mêmes ? Oh ! certes, ils se dirigent dans une direc­tion, mais elle est à l'opposé de celle qu'ils devraient prendre : la direction de l'Amour ; alors que l'amour est, pour eux, synonyme de réussite personnelle et non de réussite dans la justice céleste, là ils trouveraient la voie juste pour guider et conduire leur peuple. O peuple, comme tu es aveugle ! puisque toi non plus, tu ne sais pas où se trouve ta voie. Tu pars un jour dans une direction puis, brus­quement, tu en prends une autre, puis encore une autre, sans trouver la voie juste qui te conduirait progressivement vers un peu de sagesse et, ensuite, vers plus de sagesse ; ainsi avancerait l'humanité ; mais quand l'humanité comprendra-t-elle cela ?

 

Voyez, ô amis, que les Terrestres ont un grand besoin de connais­sances et c'est pour cela que nous venons vers eux afin, progressive­ment, de leur en faire prendre conscience, tout au moins pour ceux qui désirent s'élever vers des cimes où l'air est pur ; mais jamais nous n'obligerons personne à faire des efforts, seul celui qui le désire par­viendra, à force de volonté, à crever un abcès qui le ronge et le gan­grène de l'intérieur, afin, un jour, de se trouver parmi ceux qui,

comme lui, auront su comprendre et suivre les Lois Célestes et surtout la Loi d'Amour, la seule, l'unique Loi qui sauvera le monde. Voilà la seule et unique solution, lorsque l'humain saura que la matière doit lui permettre de s'élever au-dessus d'elle pour devenir, un jour, un être de pure Lumière ; je vous le souhaite chers amis lecteurs. Maintenant, je vais un peu vous entretenir d'un sujet important, tant pour les Terrestres que pour les Célestes non évolués. Je voudrais traiter de la vie dite « éternelle ». « Eternel », quel mot merveilleux !  et,  en même temps, il ne convient pas à tous,  car combien comprennent réellement ces mots : « éternel », « éternité » ? Ce peut être un instant qui paraît éternel. Une attente semble l'éternité et cependant c'est un court laps de temps. L'éternité d'une étreinte, l'éternité d'un instant. L'éternité d'une désespérance.

 

L'éternité d'un bonheur parfois, cependant, bien passager. Voyez que personne ne sait réellement ce qu'est l'éternelle éternité ! Et cependant, l'éternité est bien réelle, elle est tangible dans notre monde très évolué, puisque certains Maîtres sont si vieux, ils ont tant de millénaires derrière eux, qu'ils ne savent même plus combien ! On dit sur Terre : « vieux comme Mathusalem », mais Mathusalem n'est pas vieux ; c'est un vieillard très jeune pour son passé et qui sans cesse est sur la brèche afin de soutenir et garder continuellement en mouvement un temps passé, mais qui reste toujours jeune. O éternité ! il faut être dans notre monde pour te connaître et désirer t'approcher afin d'être, un jour, digne d'entrer dans l'éternité céleste. O éternité céleste comme tu es belle ! jeune fille toujours prête à rece­voir l'amant qui te convoite, mais tu te dérobes tant que l'amant sur Terre n'aura pas transformé ses fous désirs en une avalanche de beauté de sentiments ! A ce moment-là, la douce amante ouvrira ses bras, d'un blanc suprême de douceur, pour y accueillir éternellement celui qui, pour toujours, sera appelé : « enfant du Paradis », car le Paradis existe, mais il faut savoir le conquérir tout au long de ses vies, et, ainsi, au seuil de vies très bien remplies, quitter la Terre définitive­ment, afin d'entrer dans le Royaume Céleste du Père Eternel et y accomplir sa destinée : aider ceux de la Terre mais aussi ses frères et soeurs Célestes qui auront besoin de lui ; à ce moment-là, l'éternité lui appartiendra ayant été gagnée à force d'efforts et de volonté pour se transformer en un ange du Seigneur.

O éternité ! comme nous soupirons après toi et désirons de toutes les fibres de notre être, une dernière fois, servir nos Maîtres mais surtout le Maître Suprême, en apportant à la Terre nos connaissances acquises, Ici, par un labeur incessant, afin de revenir sur Terre meilleurs que lorsque nous l'avions quittée.

 

Voilà le but des Célestes évolués qui connaissent le prix de l'éter­nelle éternité.

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© copyright 2020 Suzanne Demoiny

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