Réincarnation

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    Les réincarnations futures seront fonction des vies précédentes, vies que l'on aura faites en bien, moins bien ou en mal, car les réincarnations d'un point de vue logique ne se déroulent pas comme vous pourriez imaginer.

Souvent, il faut un long laps de temps avant que puisse être organisé un retour sur Terre, avec tous les éléments indispensables afin de régler une dette karmique.

Le bon ou le mauvais karma se réglera aussi bien dans un temps lointain, car souvent il faut que l'intéressé ait pu évoluer afin de régler au mieux sa dette, quelle qu'elle soit.

Le karma a un rôle épurateur très important, et celui qui a un karma mauvais à régler doit avoir, par des épreuves successives, trouvé en lui la force de pouvoir surmonter la purge qu'est un mauvais karma. Car le mau­vais karma doit aboutir à une libération de l'être, de ce passé négatif qu'il traîne avec lui, mais dont il ne peut se libérer que lorsque toutes les circons­tances seront réunies, et cela n'est guère facile à organiser pour un guide, mais aussi pour les guides des personnes ainsi concernées.

La loi de la réincarnation si juste et si logique, quoi qu'en pensent tant de personnes très intelligentes, est une loi d'une logique implacable. Je vous le redis, sans elle point d'évolution de l'être humain. Cette loi de l'évolution spirituelle est réservée au genre humain, mais il y a quelques exceptions pour certains animaux attachés à leur maître par un amour, dirais-je presque hu­main. Ceux-là peuvent se réincarner quelquefois avec les mêmes maître ou maîtresse, avec ceux dont l'amour a été, toute leur vie durant, le moteur de la fidélité l'un envers l'autre.

Voilà la seule exception de la loi de la réincarnation des animaux, sinon aucun animal ne se réincarne jamais.

Ce sont de petites âmes sans lendemain, ce sont des passagers de la terre, ils viennent apporter ce qui est nécessaire à la vie, car la vie est multiple et il faut de l'animation. Certains comme les oiseaux sont les enchanteurs de la nature, un plaisir des yeux, mais aussi leurs chants réjouissent le coeur de l'homme, simple de coeur, car l'homme au coeur simple contemple la Nature qu'a créée l'Ame des Mondes, pour charmer les humains. Mais combien d'humains traversent la vie sans rien voir, ni entendre de ce que le Créateur leur a donné de beau, pour enchanter leur séjour terrestre ?

Heureux ceux qui savent écouter et admirer cette nature merveilleuse et harmonieuse, elle est la joie de l'humain !

Quand l'humain le comprendra-t-il enfin, et ne saccagera plus inutile­ment ce que le Créateur lui a donné gratuitement ? La nature est un don de Dieu, tout don étant gratuit, mais il faut savoir l'apprécier à sa juste valeur, et en remercier Celui qui nous a fait ce don si merveilleux.

Vous devez penser que je suis loin de mon sujet sur la réincarnation, vous vous trompez, car tout se tient, et tout dépend de tout. Ce tout est lien et forme la loi de l'Univers en entier, donc fait partie de la vie en général.

La réincarnation en étant une facette parmi tant d'autres, il faut tout lier et relier ensemble pour faire un tout finalement cohérent.

Car la nature évolue, elle aussi, et si elle ne se réincarne pas comme les humains, elle ne cesse pas d'évoluer à sa manière, laquelle mérite aussi d'être évoquée puisque loi Divine.

 

Georges Renaud

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Maisons Hantées

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    Les maisons hantées le sont toujours par d'anciens mortels. Les fantômes que vous y voyez, ou dont vous entendez les bruits et voix proviennent tou­jours d'ex-humains ayant vécu dans ces lieux soit une vie bonne, soit une vie de cauchemar.

Les deux cas peuvent se présenter, même simultanément, car les préten­dus fantômes sont des êtres réels.

Ils revivent en permanence une ou plusieurs scènes qui les ont terrible­ment traumatisés dans une vie, mais pas obligatoirement la dernière. Il ar­rive parfois qu'un individu ait eu une vie plus que mouvementée autrefois et, arrivé Ici, lorsqu'il revoit à une époque donnée le passage de cette vie an­cienne, que le désir le saisisse de revenir sur les lieux, soit de ses forfaits, soit d'un bonheur inachevé, non pleinement réalisé. Car ce bonheur peut souvent avoir été la cause d'un drame passionnel, mais aussi avoir laissé dans l'indi­vidu une telle nostalgie ! et ne retrouvant pas dans le passage à la vie Céleste, soit ceux avec qui il a commis des forfaits horribles, soit ceux qu'il a aimés,

adorés, qu'il parte alors à leur recherche sur la Terre, comme on part à la re­cherche d'un être aimé.

On retourne de préférence là où l'on a vécu et où l'on est mort, pour es­sayer de retrouver celui ou ceux que l'on a quittés beaucoup trop tôt, soit en plein bonheur, soit en plein désarroi. Ces pauvres âmes viennent errer et re­vivre un passage de leur ancienne vie, espérant toujours pouvoir rencontrer ceux qu'ils cherchent inlassablement, mais leur espoir est déçu à chaque fois. C'est ce que je vous ai annoncé dans le chapitre des âmes en errance sur la Terre.

Cela peut durer très, très longtemps avant que nous puissions leur faire comprendre que tout cela est le fruit de leur imagination, qu'ils revivent un passé bien mort et qu'ils ne retrouveront jamais, de cette façon, ceux qu'ils recherchent.

Ces êtres ne sont pas toujours maléfiques mais ils font toujours peur aux vivants, car pour un vivant rien n'est plus désagréable que ces apparitions in­attendues et fortuites. Mais le plus souvent, en vous voyant chez eux sur les lieux où ils ont vécu et se croyant toujours à leur époque, ils ont aussi peur que vous de vous rencontrer sur leur passage, ce qui peut les rendre agressifs et même très méchants, car ils veulent rester les maîtres des lieux, comme ils l'étaient autrefois.

Si cela vous arrivait, essayez, si vous avez assez de maîtrise de vous, de leur parler, leur demander ce qu'ils font, qui ils sont, et surtout priez beau­coup pour eux. Dites-leur que vous êtes des amis qui désirez vraiment les ai­der, mais qu'eux doivent aussi faire l'effort de vous accepter chez eux, comme des hôtes, des amis de passage.

Evitez de les heurter, de les prendre de front, ce sont en principe toujours des êtres blessés qui ne trouvent pas de repos.

Vous pouvez peut-être les aider à comprendre par la douceur, par la gentillesse, et les raisonner. Mais il faut en même temps être ferme, et es­sayer de leur faire, après un certain temps, comprendre qu'ils vivent dans un autre temps que le vôtre depuis celui où ils ont vécu. Que bien des années ont passé depuis qu'ils sont morts physiquement, mais qu'ils continuent à vivre uniquement par le souvenir ; que ce n'est pas ainsi qu'ils retrouveront la paix, ni surtout ceux qu'ils viennent en vain chercher. Ceux qu'ils viennent désespérément chercher sont eux aussi morts depuis longtemps, et qu'ils font absolument fausse route.

Peut-être pourrez-vous arriver à les convaincre, sinon, s'ils sont toujours menaçants, il ne vous reste plus qu'à quitter les lieux le plus vite possible ; car certains de ces êtres vont devenir de plus en plus dangereux et, voyant qu'ils n'arrivent pas là où leur désir les conduit, ils peuvent vous rendre la vie infernale, le mot n'est pas trop fort.

Il y a d'autres cas, ceux d'anciens mortels qui sont, eux, hantés par le sou­venir de maux horribles perpétrés autrefois sur leurs pauvres corps, et cher­chent par tous les moyens à se venger des souffrances qu'ils ont subies autrefois. Ce sont les plus dangereux, car eux sont dominés par le désir de vengeance, ils ne reculent devant rien pour se venger de qui vient troubler leur vie.

D'autres encore ne désirent qu'une chose : c'est avoir enfin une sépulture digne d'un humain, car ils souffrent mille morts morales de ne pas être en­terrés dans un cimetière. Ils sont partis et ont vu où leur pauvre corps avait été mis, leur vie depuis est un enfer, car ils n'ont plus que cette idée fixe : être enterrés comme tout le monde ; pour eux, il n'y a que cette solution pour pouvoir trouver la paix.

Personne Ici n'arrive à approcher ces pauvres malheureux qui errent en permanence auprès de leur pauvre corps terrestre, même si ce corps est ré­duit à l'état de squelette. Ils ne trouveront la paix qu'au prix de la mise en terre de leur corps, après ils seront pour nous récupérables.

Mon Dieu ! si tous ces pauvres êtres avaient eu des connaissances sur la vie après la mort lorsqu'ils étaient encore sur Terre, il n'y aurait plus de reve­nants, de fantômes malheureux. Nous, il nous arrive souvent de retourner sur les lieux d'un lointain passé, mais avec juste un peu de nostalgie, en sachant très bien ce que nous faisons, et si quelqu'un par hasard nous y surprend, nous nous effaçons très vite, sans faire peur, ou tout au moins, sans le désir de faire peur.

Combien parmi nous, même dans notre sphère élevée, retournent parfois ainsi faire un pèlerinage sur des lieux qui autrefois nous furent chers ! C'est un privilège de pouvoir retourner nous promener, avec un peu de nostalgie, dans un passé récent ou ancien, dans des lieux où nous avons été heureux. Nous imaginons vous revoir vivre avec nous ces jours heureux d'autrefois. Rares sont ceux qui par moments ne s'offrent pas ce petit voyage, lorsque ceux avec qui ils ont vécu des moments merveilleux sont encore sur Terre.

Mais j'affirme que nous y retournons en toute lucidité, uniquement en pèlerinage du souvenir. Cela parfois est tellement agréable que nous profi­tons d'instants de liberté pour aller faire un petit tour dans le passé, proche ou lointain, puisque nous avons l'avantage de nous déplacer à la vitesse de la pensée.

Voyez-vous, il y a beaucoup de lieux « hantés », comme vous dites, mais certains sont vraiment hantés dans le sens courant ; d'autres reçoivent des vi­sites furtives, mais qui ne feront jamais de mal aux nouveaux habitants. Ceux que vous pourriez rencontrer de temps en temps, en simples passants, laissez-les, essayez d'avoir pour eux une pensée aimable et émue, nous n'en demandons pas plus.

J'ajoute, pour être bien clair, que nous sommes si souvent près de vous pour vous aider, vous aimer, que vous pourriez utiliser aussi ce terme pour nous. Mais là alors, vous feriez fausse route, car le terme « hanté » doit res­ter dans votre esprit bien distinct, entre les êtres qui hantent vraiment un en­droit à la recherche de quelque chose, et nous qui venons près de vous. Nous, nous vivons près de vous par amour pour vous, pour vous aider, vous réconforter, en sachant très bien ce que nous faisons. Et nous aimons tant nous retrouver chez nous, dans notre maison, tout comme autrefois, lorsque l'on veut bien nous y accueillir avec le souvenir heureux d'autrefois, nous qui vous aimons tant.

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Georges Renaud

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L' Amour

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    L'amour, mot si galvaudé parmi les mortels et pourtant mot sublime, si l'on en comprend bien le sens. Ce sens est : donner sans attendre de retour au sentiment d'amour que l'on donne, car aimer pour recevoir aussi de l'amour en retour n'est pas toujours de l'amour vrai. L'amour vrai et pur donne sans compter sur le retour d'une affection en contrepartie. Dans l'amour pur, c'est donner qui compte, et non penser avant de donner aux in­térêts que l'on pourra en recevoir. A ce moment-là, l'amour a déjà dégénéré en calcul et lorsqu'il y a calcul, l'amour n'est plus tout à fait de l'amour à l'état pur.

Il y a tant de formes d'amour sur la terre, mais Ici aussi, puisqu'Ici les humains ne sont pas encore épurés de toutes les formes d'égoïsme, et elles sont multiples !

Vous les définir serait fastidieux, aussi je m'en abstiendrai.

L'amour désintéressé est le seul, le vrai amour, il n'y a que celui-là Ici qui est pris en compte sur votre livre bancaire, l'autre, l'amour non désintéressé, est dans une rubrique à part, il sera jugé selon vos mérites. Les mérites se­ront à la hauteur de ce que vous aurez fait finalement de cet amour, il pourra devenir peut-être par la suite un amour altruiste, alors il passera sur votre compte de profits ; mais si cet amour dégénère en douleur pour ceux à qui vous l'avez donné, alors votre passif sera aggravé. Vous en serez les seuls responsables, vous aurez mal géré votre compte, tant pis pour vous, car d'un sentiment noble vous aurez fait un instrument de torture pour autrui.

Malheureusement ce cas est si fréquent qu'un bon sentiment émis au dé­part tourne progressivement vers le mal ! Cela se paye toujours, car vous au­rez manqué de lucidité et ce manque de lucidité vous sera compté.

Voyez l'importance de donner de l'amour avec un coeur pur d'intention, lorsque vous faites naître en vous ce sentiment merveilleux et sublime qu'est l'amour, mais il faut beaucoup veiller à ce qu'il reste le sentiment du départ,et non qu'en cours de route il ne dévie par exemple en haine, car cette haine vous la réglerez toujours un jour ou l'autre.

Alors un sage conseil : lorsque vous vous rendez compte que votre amour commence à ne plus être pur, fuyez avant qu'il ne se transforme en haine.

L'amour, sentiment sublime entre tous, devrait rester toujours ce senti­ment noble et puissant qui devrait, qui doit régénérer le monde, car sans amour pur et désintéressé, rien de grand ne se fait, ne se fera jamais.

Réfléchissez beaucoup à ce problème, car le problème est énorme puisque la terre est en ce moment en train de se perdre par manque d'amour pur et sincère ; l'amour que nous voyons en ce moment sur toute la terre n'est en réalité que de la haine pour qui ne pense pas comme soi.

Vous désirez imposer aux autres votre forme d'amour à vous, votre croyance à vous comme étant le seul et unique recours vers un Dieu que vous vous forgez et dont vous voulez être les seuls bénéficiaires, alors que Dieu est le Dieu de tous les peuples et qu'aucun peuple n'a le droit de se L'approprier pour lui seul, encore moins de vouloir L'imposer aux autres. La loi de l'amour est et doit être : « Aimez-vous les uns les autres, quelle que soit votre race, quelle que soit votre croyance ».

Respecter la croyance des autres c'est aimer et respecter Dieu, l'Ame des Mondes et non le Dieu d'un peuple, d'une seule croyance, car les peuples sont multiples et multiples sont les croyances, toutes sont aussi justes que votre croyance à vous.

Donc donner de l'amour, de l'amour pur et désintéressé envers tous vos frères, car quelles que soient leurs races, ils sont vos frères en Dieu qui vous a créés tous, afin que tous vous soyez ses enfants qu'il aime sans distinction de croyance ni de race.

 

Georges Renaud

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Votre Guide,

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    Vous savez qu'avant votre naissance Terrestre, avec votre guide, vous avez choisi et décidé de la vie nouvelle que vous allez vivre sur la Terre, en fonc­tion de vos vies précédentes. Chaque nouvelle incarnation a pour but de vous faire évoluer, et que vous fassiez des progrès dans tous les domaines : affec­tif, loyauté, honnêteté, travail bien fait, amour et situation.

Pour beaucoup de ceux qui vont venir se ré-incarner, la bonne volonté est évidente, mais il n'en est pas de même pour tous ceux qui doivent revenir prendre à nouveau un corps de chair.

Certains êtres sont plus que réticents à revenir sur la Terre, n'ayant nul­lement le désir de faire des efforts pour s'améliorer, se trouvant très bien comme ils sont, sans aucune ambition d'amélioration ; la médiocrité leur suffit, et ils ne voient pas pourquoi il faudrait revenir encore sur Terre pour faire des efforts, car pour ceux-là, tout effort est d'avance source d'épuise­ment. Ce sont des mous, des êtres souvent veules et paresseux, que tout ef­fort rebute, le guide est bien alors obligé de forcer son élève à prendre une décision, et à se lancer à nouveau sur la Terre. Ces êtres-là resteraient éter­nellement dans leur petite sphère, en toute satisfaction, rien ne les motive dans la vie, sinon en faire le moins possible et se laisser vivre. Pour ceux-là, le retour sur Terre va être plus difficile, car justement leur nouvelle vie est prévue pleine d'embûches, pour les obliger à sortir de leur torpeur. Une vie très difficile où il leur faudra faire preuve d'initiative impérieuse, pour enfin les faire sortir de ce cercle de re-naissances inutiles.

Il faut bien un jour ou l'autre prendre ses responsabilités, et ceux-là, croyez-moi, n'en ont aucune envie.

Pauvre guide d'un tel être ! grande est sa responsabilité, car il va lui fal­loir une main de fer pour obliger, bon gré mal gré, son protégé à avancer sur le chemin de l'évolution, et ce ne sera pas tâche facile.

Pour la majorité, je veux vous dire : soyez conscients qu'il faut toujours vous améliorer et avancer vers la réussite, c'est-à-dire finir au plus vite les re­naissances Terrestres. Le problème sera moins ardu, puisque le protégé aura à coeur de faire des efforts pour évoluer, mais une fois sur la Terre, comment va-t-il se comporter ? Aura-t-il assez de force de caractère, de fermeté de­vant les obstacles qui se dresseront sur sa route ? Obstacles prévus pour l'avancement de cet être qui, au départ, est plein de bonne volonté, mais quand surgissent les obstacles, les réactions ne sont pas forcément celles pré­vues, là est toute l'épreuve du passage Terrestre de tout humain. On dit bien que l'on gagne son paradis sur Terre, et là il n'y a rien de plus vrai, car tous les efforts faits sur la Terre sont toujours Ici récompensés et, de surcroît, ils portent des intérêts qui vous sont comptabilisés sur votre compte bancaire céleste.

Là, point besoin d'ordinateur, notre système est encore beaucoup plus perfectionné que le vôtre, et jamais une erreur n'est commise, ni dans un sens ni dans l'autre.

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Georges Renaud