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Extraits de 

Apocalypse sur L'Atlantide

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L 'Age D'Or

    Par les efforts incessants nous étions arrivés à déraciner le mal de notre cher pays de l'Atlantide, et c'est pourquoi, après, nous avions pu pro­gresser rapidement mais aussi parce que des Maîtres extrêmement sages étaient parmi nous, puisque tous les Atlantes ayant fait tous les efforts néces­saires, de grands Maîtres pouvaient nous enseigner et de grands Sages prési­daient à la destinée de notre nation.

Tous les Atlantes étant conscients qu'ils devaient travailler pour eux-mêmes mais surtout travailler pour la collectivité, car si la collectivité était harmonieuse tous les Atlantes seraient harmonieux et leur vie en serait transformé 

Alors chacun avait conscience d'être un maillon d'une immense chaîne et jamais un maillon n'aurait manqué à son devoir, car personne n'aurait voulu être responsable de rompre une chaîne, sachant trop bien qu'à ce moment-là cela lui serait compté et qu'il aurait une vie beaucoup plus dure parce qu'il aurait bravé les lois cosmiques en rompant un maillon de la chaîne qu'il était lui-même.

Arrivé à notre stade, aucun Atlante n'y aurait même pensé, c'était un passé lointain que l'on ne revoyait jamais, il ne faut pas revivre les mauvaises périodes. Alors chez nous, nous avions su ne pas regarder en arrière mais regarder toujours en avant et regarder ce qu'il fallait faire pour nous amélio­rer continuellement et sans cesse. Cela tous les Atlantes le comprenaient du plus humble au plus grand et, c'est pourquoi, nous étions arrivés à une civili­sation que vous ne pouvez pas encore comprendre ô humains du XXe siècle.

Nos Maîtres avaient une connaissance très étendue, et même le plus savant de vos savants actuels est bien loin de soupçonner les merveilles qu'il pourrait découvrir, s'il voulait bien s'occuper des lois cosmiques et oublier certaines lois de la Terre. Plus vos savants, vos chercheurs essaieront d'abord de comprendre les lois cosmiques, ensuite de s'en rapprocher, et plus ils aideront l'humanité à évoluer, à avancer dans plus de compréhension de ces lois merveilleuses, merveilleuses d'amour et d'équité, qui conduisent le Cosmos et que vous terrestres vous refusez de connaître ; cependant ce sont les seules qui vous permettraient d'évoluer, qui vous permettraient progressi­vement de déraciner le mal pour arriver un jour à le faire disparaître de la planète Terre, comme nous nous avions su le faire disparaître de notre pays : l'Atlantide.

Cela tous les humains peuvent le faire, tous les humains peuvent essayer de comprendre et ensuite d'appliquer les lois, les lois éternelles qu'a promul­guées le Maître du Cosmos. Tant que vous refuserez de connaître ces lois, que vous vous enfermerez dans des lois que la Terre a édictées, vous n'avan­cerez pas ; vous ne pourrez pas sortir du bourbier où vous vous êtes enlisés et, ainsi, vous ne voyez pas le petit chemin étroit mais qui conduit vers la connaissance, qui conduit vers plus de justesse et qui conduit vers l'amour — l'amour du Créateur, l'amour de toutes ses créatures. Ensuite l'harmonie s'installerait sur la Terre et le monde deviendrait un autre monde, il devien­drait un monde d'équité, un monde de beauté où la laideur serait à jamais bannie de la Terre, laideur en tout : laideur des sentiments mais aussi laideur de tout ce qui vous environne. Vous verriez la nature se transformer, s'as­sagir, parce que votre sagesse rejaillirait sur la nature qui, à son tour, pourrait vous donner davantage de sagesse, parce qu'elle en possède déjà beaucoup.

Voilà ce qu'il faut bien que vous compreniez ô habitants de la Terre, mais que vous compreniez n'est pas suffisant, il faut que vous l'assimiliez et que vous en fassiez des principes de toutes vos journées et de toute votre vie, pour qu'avance l'humanité vers cet âge que vous nommez sur la Terre l’« Age d'Or », où la mort sera bannie, où l'amour régnera en maître, et nous vous en parlons en connaissance de cause puisque nous avions su réaliser ce que vous appelez l’« Age d'Or ». 

 

Mais voyez-vous il manquait encore quelque chose à notre évolution, c'est que certains êtres sont sortis des lois cosmiques parce qu'en eux germait encore une parcelle de mal, et qu'ils ont voulu devenir les maîtres de la planète en commençant par les maîtres de l'Atlantide, et ensuite ils auraient continué. Tel avait été leur projet fou et ambitieux qui a conduit à la destruction de notre monde qui gît au fond de l'océan Atlan­tique, pour combien encore de millénaires ? Cela ne dépend que de vous terrestres ! de la lenteur ou de plus de rapidité dans vos efforts d'évolution vers la compréhension des lois célestes. 

Les Lois de la Nature

    Voyez que ceux qui s'éloignent de la nature, qui ne cherchent à pas en comprendre les lois s'éloignent de la vérité que la nature peut enseigner. Vous voulez domestiquer la nature, quelle erreur vous faites ! vous vous éloi­gnez des lois cosmiques, vous vous éloignez de la sagesse puisque la nature fut créée avant l'humain donc en elle réside une certaine sagesse qu'elle peut transmettre à l'humanité. Alors que vous maintenant vous la détruisez pour en faire quoi ? Pour bâtir des cités qui deviennent des cités sans âme, des cités qui n'ont pas de corps, des cités vides ; et au lieu d'avancer vous reculez et plus vous ferez disparaître la nature et moins vous pourrez évoluer sur le plan, le seul plan où l'humain doit avancer — celui de la spiritualité que tout humain devrait rechercher mais rechercher dans la vie simple, et non pas compliqués comme la plupart du temps sont ceux qui parlent de spiritualité. O je reviendrai sur ce sujet car il est primordial pour qu'avance l'humanité vers un point qu'elle ne peut absolument pas encore comprendre, et qu'elle ne pourrait pas assimiler parce que vous êtes partis sur une voie qui n'est pas réellement la bonne. Vous avez fait des progrès technologiques, vous avez fait des progrès dans vos sciences mais vous vous éloignez de ce que vous devez trouver. Certains chercheurs isolés sont sur la bonne voie mais ceux-là sont rejetés de leurs pairs parce qu'ils suivent une autre direction et qu'eux se rapprochent de la nature donc de la vérité ; alors que d'autres refusent le côté spirituel, refusent de reconnaître qu'au-dessus d'eux il y a une Force Suprême qui dirige tout, qui est en tout, et tant que ces êtres refuseront de croire en cette Force Suprême, ils piétineront ou partiront sur une route ou sur des routes qui les éloigneront du vrai chemin ; et seule l'Energie, qui dis­pense partout la vie, peut leur permettre d'avancer.

Voilà le point capital qu'à l'heure actuelle vous devriez — ô chercheurs du monde — comprendre, et vous soumettre à cette Force sinon vous irez vers des catastrophes, parce que vous vous laisserez entraîner par l'adversaire des forces cosmiques qui désire perdre le monde pour essayer de devenir un jour le maître du monde.

Alors nous vous disons : « Chercheurs, attention ! ne vous laissez pas entraîner, comme beaucoup le font maintenant, à sortir du sentier réel de la vie, de la vie belle, pure, harmonieuse ! et ne cherchez pas à faire des monstres qui ne vous serviront jamais à aller où le monde devrait aller c'est-à-dire : vers la beauté, l'harmonie ; et laissez l'homme tel que le Créateur lui a donné ses formes, son intelligence et en a fait réellement un être humain. Alors que vous, vous cherchez à faire des monstres que vous pourriez à volonté conduire selon votre désir ; alors là vous allez aussi à une catastrophe car dans notre monde certains êtres ont dévié comme vous le faites à l'heure actuelle, et voyez le résultat, c'est que finalement tout notre continent a disparu de la surface de la Terre, et vous — chercheurs, scientifiques — par vos folies vous pourriez conduire une partie du monde à la ruine, à la catas­trophe comme celle qui a englouti notre monde ».

O c'est un avertissement pour tous ! rentrez dans le rang, reprenez vos études sur la vie réelle, sur l'homme tel qu'il est, et ne cherchez pas à outre­passer les lois que le Créateur a données pour tout le Cosmos et pour les humanités du Cosmos.

Voilà en préambule de mon chapitre ce que je tiens à vous dire parce que de notre monde Céleste tant de chercheurs, tant de scientifiques viennent par ma bouche vous crier : « Halte-là ! vous allez trop loin, et attention à ce que ne "saute le couvercle de la marmite" comme l'on dit, c'est un avertissement mais un avertissement extrêmement important pour l'avenir d'une partie de l'humanité. »

 

 

L'éducation des enfants

   La vue que nous avions de l'avenir c'était l'harmonie en permanence et en tout. Alors nos enfants étaient des êtres calmes, ô qui aimaient à se dépen­ser ! mais dans le calme et je pourrais presque dire dans la sérénité ; parce que nous savions les élever dès le départ dans une ligne de conduite où l'amour était maître, mais qui dit amour dit justesse et jamais, nous ne dépas­sions les limites permises qu'un enfant doit comprendre dès le berceau ; les cris et les pleurs intempestifs n'existaient pas parce que nous savions, dès le berceau, être fermes et ne jamais laisser un enfant prendre le dessus en obli­geant les parents à lui céder.

Nous savions ce qu'il fallait faire pour ne jamais céder à un enfant, ce qui n'était pas logique, ce qui n'était pas bon pour l'harmonie de tous — pour l'harmonie de l'enfant avec les parents et pour l'harmonie des parents avec l'enfant. Cela nos Maîtres nous l'avaient appris avant le mariage et ainsi, nous savions exactement ce qu'il fallait faire ou ne pas faire ; et voyez que de temps nous gagnions et que de regrets nous nous évitions en suivant les en­seignements que nos Maîtres nous avaient dispensés. Mais comme notre enseignement était extrêmement clair, juste et logique, eh bien tous nous nous y conformions puisque nous avions été élevés de la même façon.

Cela nous semblait absolument normal d'élever nos enfants de la même manière, ainsi les foyers étaient harmonieux, les rires des enfants étaient beaux et l'on sentait chacun à sa place ; mais jamais de cris discordants — cela dans notre cité était banni. Chacun s'ingéniait à ce que l'harmonie régnât en tout.

Qui dit harmonie dit aussi paix, paix et calme, ainsi nous baignions dans ce climat de paix qui nous donnait un calme imperturbable diriez-vous, et chacun en retirait un tel bienfait, une telle douceur de vivre ! que nous avions au coeur l'amour de la vie parce que nous comprenions que toutes nos connaissances nous permettaient de créer cet amour, cette paix, cette harmo­nie, qui baignaient notre cité d'une douce chaleur d'amour, d'une tendresse que chaque habitant ressentait et qu'il désirait, à son tour, redonner aux autres.

Nos enfants, nous nous en occupions beaucoup, nous les éduquions d'abord, et puis nous commencions progressivement à les instruire car la maman, lorsqu'elle sait comment instruire son enfant, a un impact tellement plus grand que quelqu'un d'étranger qui ne connaît pas le caractère de l'enfant.

Nous avions été aussi très jeunes éduquées à cela et avions des connais­sances pour que justement l'enfant puisse suivre nos cours toujours dans le calme et la douceur, et que, n'étant pas en contact avec des camarades trop tôt, il ne prît pas de fâcheuses habitudes et qu'il restât toujours lui-même calme et attentif, sachant ce qu'il fallait faire pour capter l'attention de nos enfants même dans les matières les plus difficiles, déjà dès l'enfance.

O des contes comme vous en donnez point n'existaient chez nous. Nous leur racontions des histoires mais des histoires vraies pleines de beauté où les animaux parlaient un langage choisi, où les oiseaux chantaient de merveil­leuses mélodies, et nous ne leur donnions que des textes où la beauté régnait en tout.

La laideur nous ne connaissions pas, depuis si longtemps elle avait été bannie de notre vie ! nous pouvions seulement redonner que ce qui était beau, et nos Sages avaient tellement su nous inculquer la beauté, l'harmonie, que de nous-mêmes nous savions les redonner à nos enfants.

Nous pouvions les emmener dans des jardins, dans des parcs merveilleux où là nous les instruisions dans la nature en prenant les plantes, les animaux qui s'y trouvaient et qui savaient être doux avec les enfants ; même les animaux que vous appelez sauvages étaient pour nous de doux amis qui venaient se faire caresser et qui savaient attirer les enfants et les retenir par un regard, par quelquefois un doux coup de langue qui faisait comprendre à l'enfant qu'il était aimé de ceux qui auraient pu lui paraître des monstres, comparativement à sa taille, et qui étaient de tendres amis pour eux.

Donc les enfants baignaient dans la nature et nous pouvions les enseigner tellement mieux ! puisque c'était sur le vivant que nous travaillions et non sur des livres avec des images. Cela pour les enfants était merveilleux car ils avaient les exemples, sous les yeux, de la nature et très jeunes ils savaient re­connaître les plantes, ils savaient reconnaître les fleurs, les arbres et les animaux qui, en liberté, les entouraient. Donc déjà toute crainte était bannie puisque il y avait symbiose entre la nature et les humains, ainsi les enfants grandissaient dans cet enseignement merveilleux qui les baignait d'une

douceur ! et les enfants apprenaient très vite parce que chaque parent avait à coeur de leur faire comprendre par le regard, par le toucher, par l'odorat et par l'ouïe tout ce que comporte la nature.

Ils étaient très instruits de ce côté-là, l'esprit extrêmement ouvert et ensuite il était si facile de prendre des cours plus difficiles, de leur inculquer ce que tout humain avait besoin de connaître pour tenir bien sa place dans une cité.

Ensuite nous pouvions les confier à des maîtres qui connaissaient le caractère de chacun, parce que chaque maman tenait un cahier au jour le jour de tout ce que l'enfant avait reçu comme enseignement et de ses réac­tions. Alors le maître ensuite n'avait plus qu'à compulser ce cahier ou forme de registre, il connaissait l'enfant comme si, presque depuis l'enfance, c'était lui qui l'avait éduqué. Ensuite tout venait avec facilité parce que les enfants étaient très attentifs à tout, ils aimaient leurs petits camarades, ils savaient respecter, aimer leurs maîtres et ainsi, nos enfants grandissaient en harmonie de corps, en harmonie morale et avec au coeur toujours de l'amour.

Nous arrivions à avoir des enfants très instruits mais non des enfants souvent étriqués parce qu'ils n'auraient fait que des études et ne se seraient pas épanouis dans la nature avec des jeux (qui étaient en fait des sports), et qui leur donnaient un corps harmonieux comme devaient être leur intelli­gence et leur coeur.

Nous préparions ainsi des citoyens absolument conscients de leur rôle, de la place qu'ils tiendraient dans la société et, aussi, le jour où ils prendraient soit femme soit mari qu'à leur tour ils puissent créer un doux foyer où les enfants seraient attendus mais où les enfants ne viendraient pas au moment inopportun. Depuis si longtemps nos médecins avaient su gérer, selon le désir du couple, la possibilité d'avoir des enfants au moment opportun.

Donc tout était fait pour notre harmonie et chacun avait le nombre d'enfants qu'il désirait selon sa situation, selon son désir d'avoir des enfants et selon l'amour qu'il pouvait donner aux enfants. Il était toujours tenu compte de la santé physique et morale de la mère et c'était sur ce critère principal qu'était basée la naissance des enfants.

O rien n'était jamais laissé au hasard ! et c'est pourquoi je n'arrêterai pas de vous dire que tout était harmonie, tout était beauté et que, jamais, nous n'avions un sentiment de culpabilité — cela n'existait pas chez nous —, il fallut que dans le monde céleste on me l'apprenne pour que je puisse vous en parler, mais il paraît que sur votre terre vous connaissez ce sentiment presque en permanence !

O pour moi il y a longtemps que je ne suis pas redescendue sur la Terre, j'y redescendrai dans quelque temps mais j'ai passé une grande période dans ma cité céleste pour me préparer à ma dernière redescente sur la Terre. Alors il y a beaucoup de choses que j'ai oubliées et il a fallu que je me replonge un peu dans la vie de la Terre, en regardant vivre les humains et plus particuliè­rement vous, Français, puisque c'est en français que je dois parler et que ce livre sera édité ; mais nous souhaitons tous que ce livre soit traduit dans beaucoup de langues et que de par le monde il aille porter la connaissance que nous avions su acquérir à force de travail, d'amour au coeur pour notre Créateur et pour nous tous.

Voyez ô chers terrestres que j'ai dû refaire ce plongeon vers les habitants de la Terre alors que j'avais tout oublié et que j'étais restée surtout sur ma vie merveilleuse d'une femme de l'Atlantide.

Les animaux

    Notre pays n'était pas un pays plat, nous avions des montagnes merveil­leuses où la neige était inconnue, elles étaient verdoyantes car lorsque l'on montait vers le sommet l'herbe y était magnifique, l'on pourrait dire grasse pour faire paître les troupeaux ; les fleurs étaient innombrables mélangées à une herbe belle et riche qui donnaient des animaux dont la saveur vous est ignorée, parce que nos bêtes ne mangeaient que de l'herbe, une herbe fraîche et point n'était besoin de rentrer pour l'hiver des fourrages. Nos bêtes toute l'année étaient dehors, elles paissaient tranquillement en pleine liberté, on pouvait les laisser presque non gardées pourrais-je dire, car les immenses ter­ritoires où se trouvaient les troupeaux n'étaient traversés d'aucune route, et de légères clôtures montraient que l'on passait d'un territoire à un autre. Ainsi vos bergers d'autrefois, vos gardiens, ne nous rappellent pas réellement les nôtres, c'étaient les habitants des villages qui allaient chaque jour s'occuper et surveiller les troupeaux, personne ne les gardait continuellement.

D'abord parce que la confiance régnait partout, les animaux étaient pla­cides et ainsi étaient évités beaucoup d'ennuis, beaucoup de catastrophes, et comme nos animaux que vous dites « sauvages » ne l'étaient plus, tous les animaux de la nature et les animaux qui nous servaient de nourriture se côtoyaient et, jamais, il n'y avait la moindre agression de la part des animaux dits sauvages.

C'était une harmonie partout et les uns et les autres vivaient aussi en harmonie parce que l'amour, que nous avions su inculquer partout, était aussi chez les animaux. Nos bêtes étaient belles et grasses mais grasses à souhait et non pas parce que nous les avions engraissées spécialement. Il n'y avait qu'une couche légère de gras sur ces bêtes parce qu'elles bougeaient, elles marchaient, elles pouvaient courir, donc elles ne s'engraissaient pas d'une graisse malsaine comme vos animaux qui sont parqués, et c'est encore pire maintenant. Il y avait juste la graisse suffisante pour que la viande fût douce et tendre ; le parfum de toutes les herbes et fleurs donnaient à la viande un arôme, une qualité que vous ne pouvez pas connaître non plus.

Voyez que tout était différent dans la vie de notre merveilleux pays, les animaux vivaient également dans les plaines où se trouvaient aussi de riches pâturages, et les bêtes pouvaient s'y ébattre comme elles le désiraient.

Certains de nos animaux ressemblaient aux vôtres mais nous en avions d'autres qui vous sont inconnus et dont la chair était savoureuse ; nous ne tuions jamais un animal pour sa peau, pour sa fourrure, mais nous nous servions uniquement des fourrures et des peaux d'animaux abattus pour la nourriture. Autrement aucun Atlante n'aurait voulu porter vos fourrures comme le font les femmes et les hommes maintenant.

Aucun Atlante n'y aurait même pensé puisque depuis si longtemps était banni de l'esprit atlante de tuer un animal pour prendre sa fourrure. Nous n'avions que des animaux de pâturage qui étaient réservés à la nourriture et nous avions ainsi assez de cuirs, assez de fourrures, — mais la fourrure, il faut dire, ne servait que pour certaines garnitures, car la température ne nous aurait jamais incités à porter de la fourrure, qu'en aurions-nous fait puisque la température était toujours douce ? Par contre le cuir était indispensable pour beaucoup d'activités et ainsi nos industries recevaient exactement ce dont elles avaient besoin, sans vos produits de synthèse qui jamais n'égaleront ce que la nature produit avec générosité lorsque l'on sait l'aimer ; et les Atlantes aimaient la nature, savaient la respecter, ainsi il y avait une commu­nion entre les Atlantes et la nature.

La nature nous prodiguait tout pour soigner et, comme était décelé très vite ce qui n'allait pas dans l'organisme d'un humain, il fallait peu de choses pour éviter que dégénérât une petite cause en grands effets. Donc là aussi tout était naturel, tout était pur. Quant à nos boissons nous aimions l'eau que nos cascades nous prodiguaient à souhait, une eau pure, merveilleuse, qui savait rafraîchir et apporter les éléments nécessaires que donne l'eau pure à un organisme humain. Nos animaux pouvaient s'abreuver eux aussi à volonté de cette eau pure, ce qui faisait que les viandes étaient encore meilleures ; par contre dans vos mares où s'abreuvent vos animaux, l'eau n'est pas pure, alors que chez nous c'était toujours une eau courante et jamais stagnante.

Je pourrais presque dire dans les petits détails que tout était parfait et non souvent frelaté comme chez vous, parce que vous ne connaissez pas encore les lois cosmiques qui vous auraient permis de comprendre comment gérer la nature pour qu'elle donne à profusion ce dont les humains ont besoin.

Vous allez à rencontre de ce qu'il faut faire, vous détruisez la nature, au lieu de vous en faire une amie vous vous en faites une ennemie parce que vous la détruisez à tort et à travers, et pourquoi faire souvent ? Rien de bien raisonnable. Alors quand donc ô humains de la Terre voudrez-vous vous pencher sur les lois cosmiques ? vous chercheurs, vous scientifiques et vous religieux au lieu de vous perdre dans des mythes, dans des légendes, dans des connaissances fausses ; eh bien penchez-vous sur les lois cosmiques ! essayez de comprendre que cela existe et que ce que l'on vous a appris jusqu'à présent, la plupart du temps, est faux. Vous avez bâti vos religions sur des bases fausses, sur des erreurs, donc vos édifices après cela sont faux, tout ce que vous enseignez est faux parce qu'au départ vous n'avez pas compris qui était le Maître du Cosmos, et qu'en Le connaissant vous auriez appris ses lois alors que ses lois vous les bafouez parce que vous ne voulez regarder que vos lois de la Terre, vos pauvres petites lois étroites et mesquines qui vous enfer­ment dans des dogmes qui sont loin de la réalité divine, de la réalité des grands Maîtres, de la réalité du Maître du Cosmos.

Voyez ô humains de la Terre si nous sommes arrivés à un sommet de la civilisation, de l'évolution, c'est parce que depuis très longtemps nos Sages avaient su être en rapport avec les lois cosmiques et, progressivement, avaient évolué en faisant évoluer les peuples de notre continent de l'Atlantide. Ainsi notre religion était belle et pure parce que basée sur la vérité des lois cosmiques et sur la connaissance réelle du Maître du Cosmos que nous appelions le Maître Suprême.

Alors que vous depuis toujours vous vous éloignez de cette Energie d'Amour qui ne demande qu'à aider les Terrestres, mais que les Terrestres rejettent parce qu'ils se sont enfermés dans un intellectualisme de bien mauvais aloi et qu'ils restent sur des bases tellement fausses que ces bases les éloignent des lois cosmiques, donc de la Vérité qui pourtant, de temps en temps, descend du Ciel pour apprendre aux Terrestres ce qu'il faudrait faire, mais que les Terrestres refusent et rejettent en jetant l'anathème sur ceux qui apportent la Vérité pour ne croire que ce qui est faux, parce que vous avez un esprit tellement tortueux que vous ne vous plaisez que dans la fausseté ; la Vérité pure vous fait peur et vous ne voulez pas la regarder en face.

Voilà ce que nous avons su éviter dès le départ de notre civilisation, et lorsque nous revoyons notre vie d'autrefois, que nous comparons où en est la Terre à l'heure actuelle, que nous revivons tous nos passages de la Terre, eh bien nous sommes épouvantés de voir combien le monde est rétrograde alors qu'il se croit très en avance, combien le monde a besoin d'apprendre qui est le Maître du Cosmos, et qu'il a promulgué des lois que les humains devraient connaître et appliquer.

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